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    « Vouloir trop plaire, c’est le plaisir des moches »

     

    - Renaud-

     

    Il ne faut pas être maquillé comme un carré d’as pour prétendre être belle.

    La beauté n’est pas superficielle mais intérieur, et beaucoup de gens s’y égarent opinément.

    De plus le maquillage fane la beauté comme un vieux chiffon humidifié séchant sur un vulgaire radiateur ; il est ridé, asséché, par trop d’absorption de produits nettoyants, devenant un visage de chiffe molle tout comme la femme affublée d’un parement de cosmétique…

    Le visage de la beauté est un cœur rempli d’humanité dont la transparence se décèle dans le regard de ce dernier…

     


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    « Un soir, j’ai assis la Beauté sur mes genoux, et je l’ai trouvée amère ».

     

    - Arthur Rimbaud -

     

     

    L’œil, cet objectif photographique apporte au cerveau une image de désir ou de dégoût. Le propre de l’Humain est de trouver la Beauté à l’extérieur sans sonder l’intérieur.

    Généralement, la beauté d’une femme a un vice-caché tout comme une automobile flambant neuf ;

     N’essayez-vous jamais avant d’acheter ???

    Un apollon, un Casanova, une déesse voir un « ange » vous ont fait écarquillé les yeux de part leur beauté subjective, de leurs regards doux ou poignants, de leur attitude angélique mêlés de romantisme  à tout-va, mais connaissez-vous réellement le mécanisme psychologique de ces personnes ???

    Aussi, l’industrie automobile vous fait du tape-à-l’œil sur certains modèles dont la technicité en émerveille plus d’un tiers.

    Et pourtant, un proverbe le stipule bien: « L’habit ne fait pas le moine »…

    Alors réfléchissez avant de foncer tête baissée devant cette Beauté qui sans nul doute vous laissera un goût très amer quelle soit humaine ou matérielle…

    Ce n’est pas l’œil mais le cœur qui doit juger, l’organe fondateur de la Beauté, de la Bonté…


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    « Le gouvernement s’occupe de l’emploi. Le premier ministre s’occupe personnellement de l’emploi. Surtout du sien ».

     

    - Coluche -

     

     

    L’emploi, gangrène du chômeur…

    Quand on pense qu’il faut devenir abominable pour trouver un emploi.. en exemple, cette dernière info du week-end où des chefs d’entreprises se sont rendus dans une prison française pour apporter des emplois aux prisonniers ; comme quoi le monde tourne à l’envers…

    Un dictons jadis disait : ‘Le crime ne paie plus »..bien au contraire !!!

    L’honnêteté citoyenne est mise au rencart contre la malhonnêteté citoyenne…

    Pour décrocher son premier job faut-il passer par la case prison ???

    Lamentable et triste époque que l’on vit désormais…

     


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    « Guillotine : petite lucarne donnant sur l’éternité ».

     

    - Adrien Decourcelle -

     

    Doit-on réhabiliter la peine de mort ?

    Pour ma part, d’une fidèle appartenance à la loi du Talion, je dirai oui à condition que les criminels condamnés à la potence sont bien les propriétaires de leurs méfaits, de leurs crimes et que les expertises ADN et biologiques mettent en évidence des preuves accablantes.

    Je trouve anormal qu’une vie extirpée sans consentement donne la possibilité au meurtrier de jouir de ses droits ; à savoir vivre comme tout le monde, enfermé certes, mais vivre après un acte abominable est inadmissible…

    D’une part, ils ne sont pas assez condamnés : trouvez-vous normal qu’un braqueur de banque qui fait zéro victime se retrouve à perpétuité alors qu’un infanticide purge à peine huit années de prison ???

    L’argent a-t-il plus de valeur qu’une vie ???

    Mes opinions me sont propres, mais quand j’analyse la situation dans le domaine carcéral je suis écœuré de voir des prisons ressemblant à des hôtels 3 étoiles, et entre autre l’insertion dans le domaine professionnel lors de leur sortie.

    Un animal qui tue, on l’abat !!!..n’oublions pas nos origines…

     


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    « Ce n’est pas la conscience des hommes qui déterminent leur existence, c’est au contraire leur existence sociale qui détermine leur conscience »

     

    - Karl Marx -

     

    La liberté en est ainsi bafouée ; la société nous dicte ce que l’on doit être et nous n’avons pas la possibilité de sortir du moule de cette fabrication. Les lois régissent notre vie sans notre consentement pour la plupart d’entre elles et notre conscience en est totalement affectée.

    La liberté de penser est une chose mais l’appliquer au quotidien est impossible ; nous sommes des pions sur un vaste échiquier où dominent le roi et ses valets..

    L’existence est une troublante allégorie ; nous vivons constamment dans le désir d’espoir au lieu de vivre du désir de liberté totale au jour le jour, ce qui fait d’elle un mot incongrue à notre conscience…

     

     

     


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