« L’apparence n’est rien ; c’est au fond du cœur qu’est la plaie »

-Euripide-

L’auteur de cette célèbre phrase qui est décédé en 400 avant JC avait tout compris de l’existence et c’est pourquoi d’ailleurs il mourut à 26 ans puisqu’il avait atteint le summum de la sagesse philosophique de l’esprit.

L’apparence est bien trompeuse comparait à l’invisibilité de l’esprit ; les gens beaux sont généralement bêtes et méchants, les contraires on les dénigre..et pourquoi ???

La laideur est un masque remarquable cachant sous le voile la réelle bonté du cœur, la beauté est superficielle convoitant le mal et c’est au fond du cœur qu’est la plaie comme disait si bien Euripide…  

« Le vrai danger, ce n’est pas quand les ordinateurs penseront comme les hommes, c’est quand les hommes penseront comme les ordinateurs ».

-Sydney Harris-

Malheureusement, l’homme y est parvenu.

Pour exemple : le fait d’envoyer une bombe à retardement de plusieurs tonnes sur la lune sous prétexte de savoir si ce satellite possède de l’eau dans sa croûte orbitale;

L' Homme pense comme un PC (Petit Con).

Quelle autre idée saugrenue va-t-il nous pondre ???

Pourquoi cherche-t-il à démolir au lieu de construire ??

Sa quête de connaissance, sa soif de découvrir, finiront par assécher et éradiquer notre propre race, la nature possédant un sérieux revers…

« Toute lettre d’amour est un calligramme de l’avenir »

-Camille Laurens-

Ou la différence de l’écriture et de la conception de la vie.

Les mots sont inscrits pour l’éternité, mais les jours se suivent mais ne se ressemblent pas dans la réalité quotidienne.

Inscrire ces louanges dans un Book ne veut pas dire accessoirement parlant s’y tenir.

 Ö combien d’amoureux se sont écrits des textes romantiques se promettant fidélité jusqu’à leur dernier souffle…

La beauté des mots est un parchemin dont seul l’esprit sain peut y déposer ses louanges à condition de rester soi-même et de ne pas gommer son existence à chaque mot transcrit...

« Le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre ».

-Pierre Corneille-

Chacun de nous conserve des traces du passé dans lesquels les souvenirs apparaissent tôt au tard dans des situations nostalgiques ou dramaturgiques.

Le feu est tel un cœur léthargique qui se réveille brusquement à la sortie du coma, il oscille mais ne faiblit pas, il récupère pour se renforcer et ses forces vives rallument ses cendres rougeoyantes, le sang victorieux de sa renaissance...

« Etre en prison pour un crime, n’empêche pas de commencer un autre crime ».

-Victor Hugo »

Dès que le vice est installé en soi, il est irrévocable ; nous naissons pour mourir avec notre caractère propre.

La bonté restera la bonté et la méchanceté, une condamnation à perpétuité.

La loi du talion devrait faire honneur aux préjudices des victimes dont la vie en a été bafouée.

Qui tue, tuera encore et le fait de nier cette évidence nous plongeras dans un univers apocalyptique d’injustice morale.

La castration, la psychologie, des soins cas par cas, ne guérissent  aucunement la récidive, mais seulement la biologie du corps ; l’esprit ne se concentrant qu’à leurs ténébreuses besognes…