• Le plus beau des silences est celui du vent caressant voluptueusement les feuilles des arbres, la chansonnette poussée par le piaillement des oiseaux, dénué de toute action humaine, de leurs paroles intarissables, de leurs gestes incongrues, du matériel bruyant qui les matérialise, tout est un lot de consolation pour assouvir leur luxueuse vie dans leur train-train quotidien. Mais apprennent-ils à écouter la douce mélodie du vent ? soyez attentifs, tendez l’oreille et cette perception auditive vous permettra d’entendre ces murmures des plus chatoyants et des plus obscurs aussi…le vent est le passage invisible de l’esprit, le frôlement de l’âme sur nos chairs, ils veillent sur le bon fondé de l’humanité qui s’écroule inexorablement…


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  • Entre la naissance et la vieillesse, quel grand pas ?

    Quand on s’aperçoit que la beauté est entre ces deux âges : Bébé marche grâce à son pousse-pousse, pépé grâce à son déambulateur, les deux sont quasiment chauves et l’espièglerie leur est compté dans une sagesse infinie : entre les ces deux personnages, un espace infinie de contrepèterie où l’expérience de la vie amène un goût amer de désillusion humaine…


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